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Le café philosophique de Montargis proposera sa prochaine séance au Belman. Ce sera le vendredi 18 janvier 2019 à 19 heures. Le débat portera sur cette question : "Le désir n'est-il que le manque ?"
Le café philosophique de Montargis se réunissait le vendredi 23 novembre 2018 pour un débat qui portait autour de ce sujet : "Peut-on être seul·e au milieu des autres?"
Plus de 40 personnes étaient étaient présentes pour ce 77e débat. Merci aux participants et au café Le Belman pour son accueil.
Le café philo fixe son prochain rendez-vous au Belman le vendredi 18 janvier 2019 à 19 heures. Le débat portera sur cette question : "Le désir n'est-il que le manque?"
Le café philosophique de Montargis proposera sa prochaine séance au café Le Belman le vendredi 23 novembre 2018 à 19 heures. Le débat portera sur cette question : "Peut-on être seul·e au milieu des autres?"
Il y a d’emblée une incohérence dans cette interrogation : la solitude signifierait une forme d’isolement au monde contraint ou choisi. Être seul au milieu des autres paraîtrait donc contradictoire. Lors du débat, les animateurs proposeront de s’interroger sur mes rapports aux autres : ai-je besoin d’eux pour exister ?
Qu’est-ce que j’attends au juste des autres ? Qu’entend-on par alter-ego – littéralement cet "autre moi" ? Cet alter-ego peut-il être un obstacle à ma singularité et à ma liberté ? L’autre me condamnerait-il à une forme de solitude ? Et de quelle solitude parle-t-on, justement ? Cette solitude peut-elle être voulue et assumée ? Et est-ce que je peux m’accomplir dans une forme d’isolement ? Ce sont quelques-unes des questions qui seront posées au cours de ce 77e débat du café philo. Cela aura lieu au Belman, le vendredi 23 novembre 2018 à 19 heures.
Le 2 novembre 2018, le café philo se déplaçait au Vox de Château-Renard pour une soiré spéciale autour du film Libre de Michel Toesca. Le sujet du débat portait sur cette question a priori simple : "Obéir ou désobéir ?"
Après la projection du film, d’emblée il est apparu que le film, portant sur l’accueil des migrants, était en lui-même une réponse à cette question, pour ne pas dire qu’il était "orienté".
Un des co-animateurs précisait qu’à Briançon, une manifestation d’extrême-droite cet hiver avait pour objectif de bloquer les migrants en se substituant aux forces de l’ordre. Elle a été suivie quelques jours plus tard d’une contre-manifestation pour laisser passer des migrants venus d’Italie. Une personne du public constate que les manifestants identitaires n’ont pas été inquiétés, alors que ceux partant assistance aux migrants passent en jugement et risquent de la prison et de fortes amendes. Obéir ou désobéir ? Il semblerait donc que d’emblée les autorités et l’État fasse du "deux poids deux mesures."
Le café philosophique de Montargis proposera sa prochaine séance au Belman. Ce sera le vendredi 21 septembre 2018 à 19 heures. Le débat portera sur cette question : "Peut-on être seul·e au milieu des autres?"
Le café philosophique de Montargis se délocalise en novembre pour une séance spéciale au cinéma Le Vox de Château-Renard. Cette soirée spéciale aura lieu le vendredi 2 novembre à 20H30, après la diffusion du film Libre de Michel Toesca.
"Obéir ou désobéir ?" Les animatrices et animateurs du café philosophique de Montargis proposeront un débat autour de la notion de liberté, de l’engagement et la désobéissance. Nous aspirons tous à vivre dans une société paisible, dans laquelle les lois entendent maintenir cette concorde. Mais que se passe-t-il lorsque ces lois me semblent "injustes" ? Peut-on considérer que c'est une raison suffisante pour ne pas lui obéir ? Comment vivre sa citoyenneté dans une société conflictuelle ? Quels principes peuvent nous conduire à la désobéissance ?
Ce seront autant de questions qui seront débattues au Vox, le vendredi 2 novembre 2018, à partir de 20H30.
Le vendredi 2 novembre 2018, le café philo de Montargis se délocalise exceptionnellement à Château-Renard pour une soirée autour de la liberté et de la désobéissance. La Cimade sera également
Le débat sera précédé du film Libre, un documentaire de Michel Toesca.
Cette séance du 21 septembre, qui porte sur la question "Va-t-on trop vite ?" tombe, c’est une coïncidence, alors que, durant la semaine, nous avons appris le décès du philosophe Paul Virilio, qui a théorisé sur la vitesse dans nos sociétés post-modernes.
Dans le titre du débat proposé, "Va-t-on trop vite ?", il y a ce "on"impersonnel, qui nomme le groupe mais qui ne nous concerne pas plus que cette autre phrase : "De quelle vitesse parlons-nous ?" C’est le "on" heideggerien qui est en même temps un "on" que l’on emploie fréquemment dans le langage courant. Qui est ce "on" ? Est-ce que "nous" allons trop vite ou bien est-ce une contrainte extérieure. Le "on" est également inclusif, réagit un animateur. Nous faisons partie d’un être collectif. C’est un "on" qui nous rend solidaire et responsable d’une vitesse que l’on va subir mais aussi engendré.
Cette vitesse, étymologiquement, semblerait être sans surprise : la vitesse fait référence à ce qui va "vite" ("rapidement", "sans sommation"). Mais la vitesse est également "l’habileté"("Vistece," un terme du XIIe s.). S’agissant de cette vitesse souvent pointée du doigt, de quoi parle-t-on ? Si l’on parle de la science, la science avance sans doute à son rythme ; cependant, s’agissant de la société, il y a sans doute un mouvement frénétique qui coûte énormément à la planète. Prendre le temps n’est-ce pas mieux ? Cependant, la vitesse et le mouvement fait intrinsèquement partie de notre monde et de la nature, comme le disait Aristote ("La nature doit donc être considérée comme un principe et une cause de mouvement et de repos, pour l'être où ce principe est primitivement et en soi, et non pas par simple accident."). Finalement, la vraie question est notre appréhension au temps et de la manière dont nous agissons. Est-ce que nous ne faisons pas les choses trop rapidement et de manière "superflue" ? Et y sommes-nous pour quelque chose ? Comme le disait Montaigne, "le monde est une branloire pérenne. Toutes choses y branlent sans cesse : la terre, les rochers du Caucase, les pyramides d’Égypte, et du branle public et du leur. La constance même n'est autre chose qu'un branle plus languissant."
Le café philosophique de Montargis se réunissait le vendredi 21 septembre 2018 pour un débat qui portait autour de ce sujet : "Va-t-on trop vite ?"
Environ 30 personnes étaient étaient présentes pour ce débat qui inaugurait la 10e saison du café philo. Merci aux participants et au café Le Belman pour son accueil.
Le café philo fixe son prochain rendez-vous au Belman le vendredi 23 novembre au Belman, à partir de 19 heures. Le débat portera sur cette question : "Peut-on être seul·e au milieu des autres?"
Le café philosophique de Montargis revient pour une dixième saison. La première séance aura lieu une nouvelle fois au Belman qui nous ouvre ses portes.
Ce sera le vendredi 21 septembre 2018 à 19 heures. Le débat portera sur cette question : "Va-t-on trop vite ?"
Le café philosophique de Montargis est de retour le vendredi 21 septembre à partir de 19 heures pour une nouvelle saison. Cela se passera cette fois encore au café Le Belman, qui ouvrira ses portes à l’équipe du café philo et à son public pour un débat qui portera sur cette question : "Va-t-on trop vite ?"
Ce questionnement n’est pas nouveau mais il est surtout très contemporain. Notre mode de vie et les contraintes de notre société semblent pousser de plus en plus d’individus à ne jamais s’arrêter : courir pour ne pas être en retard, être toujours connecté pour être informé dans l’immédiateté ou utiliser des moyens de locomotion de plus en plus rapides. La lenteur semblerait être considérée comme une tare et la vitesse comme une vertu. Des voix de plus en plus nombreuses s’élèvent cependant pour réclamer moins de vitesse. Mais de quelle vitesse parle-ton ? La vitesse est-elle une réalité objective ? Ne pas aller trop vite ce serait ralentir voire s’arrêter : mais dans quel but ? La vitesse ne peut-elle pas être autant aliénante que la lenteur ?
Ce sont autant de pistes de réflexions qui pourront être débattues lors de la séance du vendredi 21 septembre 2018 à partir de 19 heures au café Le Belman, boulevard des Belles Manières, à Montargis.
Le café philo de Montargis fice son prochain rendez-vous le vendredi 21 septembre 2018 pour un nouveau débat au Café Le Belman. Le sujet sera communiqué au cours de l'été.
Le café philo se réunissait pour l’avant-dernière fois cette 9e saison au Belman le vendredi 22 juin 2018 pour cette question : "La liberté a-t-elle un prix ?" Le débat commence par un extrait de l’émission de Raphaël Enthoven portant sur Sartre qui disait : "Si Dieu n’existe pas, tout est permis."
Sur cette question, un premier participant commence par dire que la liberté n’est pas cotée en bourse. D’emblée, cette notion de prix ne se rattache nullement à une valeur monétaire et à une cagnotte que l’on mettrait en place pour se servir en liberté. Pour un autre intervenant, la liberté, qui n’est jamais acquise, aurait un prix non-monnayable et difficilement quantifiable : celui de notre vigilance, de la revendication et du combat. Ce n’est pas un prix économique mais un "prix social et psychologique".
Pour une autre personne du public, la liberté a bien un prix : celui de ma responsabilité. Je ne peux être libre que si j’assume mes responsabilités. Par ailleurs, ma liberté serait cet espace entre moi et les autres, et cette liberté me contrant a des règles et des lois, des conventions dans une société où je vis. Sauf qu’on ne peut pas tous accepter dans ses choix. La liberté est une pièce, disait Jacques Attali, où est inscrit à l’avers la notion de précarité. Ce serait un des prix de cette liberté.
L’idée même de la mort lui paraissait scandaleuse. Ayant eu 90 ans en 2015, il comprit qu’il ne pourrait pas lui échapper. « La mort est là, elle peut arriver à tout moment, disait-il. La statistique est contre moi. C’est très mal. » Contredisant Heidegger, Claude Lanzmann ajoutait : « Mourir n’a rien de grand. C’est la fin de la possibilité d’être grand, au contraire. L’impossibilité de toute possibilité. »
Comme un volcan qui se serait endormi, Claude Lanzmann est mort à Paris jeudi 5 juillet à l’âge de 92 ans, a appris Le Monde auprès de son entourage. Il serait dommage de ne retenir de lui qu’un seul film – un chef-d’œuvre, il est vrai : Shoah. Certes, il fut un cinéaste majeur, l’un de ceux qui ont marqué à jamais l’histoire du cinéma ; mais il fut aussi écrivain, journaliste, philosophe, directeur des Temps Modernes, ami de Sartre, compagnon de Simone de Beauvoir… la liste est loin d’être exhaustive.
L’idée même de la mort lui paraissait scandaleuse. Ayant eu 90 ans en 2015, il comprit qu’il ne pourrait pas lui échapper. « La mort est là, elle peut arriver à tout moment, disait-il. La statistique est contre moi. C’est très mal. » Contredisant Heidegger, Claude Lanzmann ajoutait : « Mourir n’a rien de grand. C’est la fin de la possibilité d’être grand, au contraire. L’impossibilité de toute possibilité. »
Comme un volcan qui se serait endormi, Claude Lanzmann est mort à Paris jeudi 5 juillet à l’âge de 92 ans, a appris Le Monde auprès de son entourage. Il serait dommage de ne retenir de lui qu’un seul film – un chef-d’œuvre, il est vrai : Shoah. Certes, il fut un cinéaste majeur, l’un de ceux qui ont marqué à jamais l’histoire du cinéma ; mais il fut aussi écrivain, journaliste, philosophe, directeur des Temps Modernes, ami de Sartre, compagnon de Simone de Beauvoir… la liste est loin d’être exhaustive.
Le café philosophique de Montargis s'est clôt avec une séance exceptionnelle aux Tanneries (La Philo sous les arbres).
La prochaine séance aura lieu le vendredi 21 septembre 2018 au Belman et inaugurera notre dixième saison. Nous vous communiquerons très bientôt sur ce site le sujet choisi.
Le café philo se réunissait pour sa toute dernière séance de la saison aux Tanneries d’Amilly. Il s’agissait d’un rendez-vous exceptionnel, une "Philo sous les arbres," organisé le samedi 23 juin, dans le cadre des (f)estivales organisées par les Tanneries le week-end du 23 au 24 juin. Cette manifestation entrait dans le cadre de l’exposition Formes d’Histoires (28 avril au 2 septembre 2018). La Philo sous les arbres proposait de débattre notamment autour de cette question : "Qu’est-ce que les contes ont à nous raconter ?"
Les participants du café philo commençaient cette séance exceptionnel par une visite de l’exposition. L’enjeu de celle-ci porte sur les liens entre le réel et l’imaginaire, la vérité et la fiction, mais aussi les nouvelles formes artistiques et les contes et légendes. D’une certaine manière, les participants du café philo étaient invités à passer, telle la petite Alice, de l’autre côté du miroir (Claire-voie de Laetitia de Chocqueuse). À côté d’installations choc (le Tronçonné de Fabien Mérelle), engagées (Marion Baruch) ou surréalistes (le zèbre "Troché de face" de Ghyslain Bertholon), l’imaginaire des contes et légendes populaires est largement convié. Les créatures et les légendes populaires peuplent l’exposition : licornes, monstres mythologiques, l’âne de Peau d’Âne, les objets enchantés (le balai de Cendrillon en cristal Svaroski d'Andrey Frugier).
Le café philosophique de Montargis se réunissait le 23 juin aux Tanneries pour la dernière séance de cette neuvième saison.
Une trentaine de participants se sont retrouvés lors des (f)estivales organisées par les Tanneries pour discuter de cette question : "Qu'est-ce que les contes ont à nous raconter".
Merci aux participants et à l'équipe des Tanneries. Et à bientôt, au 21 septembre, pour la prochaine séance du café philosophique de Montargis.
Le café philosophique de Montargis se réunissait le vendredi 22 juin 2018 pour un débat qui portait autour de ce sujet : "La liberté a-t-elle un prix?"
Environ 20 personnes étaient étaient présentes pour ce débat. Merci aux participants et au café Le Belman pour son accueil.
Le café philo fixe son dernier rendez-vous de la séance aux Tanneries le samedi 23 juin pour une séance exceptionnelle de "Philo sous les Arbres."
Rendez-vous donc aux Tanneries le samedi 23 juin à 13H45 pour une visite de l'exposition "Formes d'Histoires", dans le cadre des (f)estivales des Tanneries.
Le café philosophique de Montargis fixera son prochain rendez-vous le vendredi 22 juin 2018 à 19 heures, au café Le Belman. Le sujet du débat portera sur cette question : "La liberté a-t-elle un prix ?"
La liberté a été un sujet souvent traité par le café philo. Il a régulièrement été question de choix personnels, de contraintes à la liberté, de libre-arbitre ou de détermination. Il sera cette fois question du prix que l’on pourrait donner à cette liberté. Mais de quel prix parlons-nous au juste ? Est-ce à dire que la liberté peut se monnayer voire se négocier ? La liberté serait-elle alors un don ? Puis-je renoncer volontairement à ma liberté ? Peut-on dire comme Jean-Jacques Rousseau que "renoncer à sa liberté c’est renoncer à sa qualité d’homme, aux droits de l’humanité, même à ses devoirs" ? Quel prix suis-je prêt à mettre pour me libérer ?
Ce sont autant de points qui pourront être débattues lors de la séance du vendredi 22 juin 2018, à partir de 19 heures au café Le Belman, boulevard des Belles Manières, à Montargis. La participation sera libre et gratuite.
Il s’agira de l’avant-dernier rendez-vous de la saison, puisque le lendemain, samedi 23 juin à 14H30, l’équipe du café philo organisera un dernier-rendez-vous aux Tanneries d’Amilly, "La philo sous les arbres", autour de l’exposition "Formes d’Histoires."
Le café philosophique de Montargis fixe un rendez-vous exceptionnel, le dernier de cette saison, aux Tanneries d’Amilly, le samedi 23 juin 2018 à partir de 14 heures 30.
Cette "Philo sous les Arbres" sera une rencontre conviviale autour de l’exposition "Formes d’Histoires" et dans le cadre des (f)estivales prévues le samedi 23 et dimanche 24 juin par les Tanneries d’Amilly.
Après une visite libre de l’exposition "Formes d’Histoires", les participants du café philo échangeront autour des thématiques de cette exposition : l’univers des contes, l’imaginaire ou le visible et l’invisible. Ils se poseront notamment cette question : "Qu’est-ce que les contes ont à nous raconter ?"
Ce dernier rendez-vous de l’année sera une occasion atypique et conviviale de faire de la philosophie autrement et dans un cadre exceptionnel.
La participation sera libre et gratuite.
"Formes d’histoires", de gauche à droite : Amandine Guruceaga, Julien Salaud, Ghyslain Bertholon
Sujet 1 : La culture nous rend-elle plus humain ? Sujet 2 : Peut-on renoncer à la vérité ? Sujet 3 : Expliquer le texte extrait de l'ouvrage de Schopenhauer, Le monde comme volonté et comme représentation, 1818
Série ES : Economique et sociale
Sujet 1 : Toute vérité est-elle définitive ? Sujet 2 : Peut-on être insensible à l’art ? Sujet 3 : Expliquer le texte extrait de l'ouvrage de Durkheim, Les Formes élémentaires de la vie religieuse (1912)
Série S : Scientifique
Sujet 1 : Le désir est-il la marque de notre imperfection ? Sujet 2 : Éprouver l’injustice, est-ce nécessaire pour savoir ce qui est juste ? Sujet 3 : Expliquer le texte extrait de l'ouvrage de Mill, Système de logique, 1843
Séries Technologiques
Sujet 1 : L’expérience peut-elle être trompeuse ? Sujet 2 : Peut-on maîtriser le développement technique ? Sujet 3 : Explication de texte de Montesquieu, De l’Esprit des lois (1748)