Café philo janvier 2025
Café philosophique de Montargis - Page 44
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Puis-je faire ce que je veux de mon corps ?
Le café philosophique de Montargis avait consacré il y a quelques années un débat portant sur une question similaire à celle abordée lors du café philo du mois de mars 2019.
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Compte-rendu du débat: "Le désir n'est-il que le manque?"
Le café philo de Montargis se réunissait au Belman le vendredi 18 janvier 2019 pour un débat portant sur cette question : "Le désir n’est-il que le manque ?"
Le désir, est-il dit pour commencer, est une forme d’idéalisation. Il naîtrait d’un fantasme et d’un inconscient qui pourrait nous commander. Le désir procéderait d’une tension et se porte sur un objet. Mais de quel objet parle-t-on ? D’une personne, d’un bien matériel ? En quoi donc, le désir viendrait-il d’un manque ?
Une personne parle d’amour, "d’élégance dans son mode de vie", d’affection dans son environnement et de milliers de choses définissables. Des désirs sont atteignables, d’autres non. Certains sont raisonnables, ou pas. Parfois, nous pouvons être dans un prisme déformant, et le désir, par le manque qu’il provoque, nous rend vide, tendu et frustré. "Ce qu'on n'a pas, ce qu'on n'est pas, ce dont on manque, voilà l'objet du désir" écrivait Platon.
Certains désirs pourraient-il être moins orientés sur le manque, qui seraient donc maîtrisés ? Cela peut être un désir sublimé.Beaucoup de désirs peuvent être une volonté orientée, par exemple dans le cadre d’un projet que l’on a souhaité mener. Cela peut être un désir intellectualisé, dans le domaine artistique par exemple.
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Est-on possesseur de son corps ?
Le café philosophique de Montargis proposera sa prochaine séance au Belman. Ce sera le vendredi 22 mars 2019 à 19 heures. Le débat portera sur cette question : "Est-on possesseur de son corps?"
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Merci aux participants de la séance du 18 janvier 2019
Le café philosophique de Montargis se réunissait le vendredi 18 janvier 2019 pour un débat qui portait autour de ce sujet : "Le désir n'est-il que le manque?"
Merci aux participants et au café Le Belman pour son accueil.
Le café philo fixe son prochain rendez-vous au Belman le vendredi 22 mars 2019 à 19 heures. Le débat portera sur cette question : "Est-on possesseur de son corps?"
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Le désir n'est-il que le manque?
Le café philosophique de Montargis proposera sa prochaine séance de l’année au café Le Belman le vendredi 18 janvier 2019 à 19 heures. Le débat portera sur cette question : "Le désir n'est-il que le manque ?"
Le désirs fait partie des moteurs de notre existence. Leur réalisation serait un moyen d’arriver à notre bonheur. Mais comment comprendre le désir ? Est-il conscient ou bien une marque de dépendance ? Le désir est-il le fruit d’un besoin, d’un manque et finalement d’une forme de fantasme ou de rêve. Dans la volonté de combler un manque parfois inassouvissable, le désir peut-il s’opposer à la raison ? Tous nos désirs peuvent-ils être mis à égalité ? Y a-t-il des désirs vertueux ? Devons-nous nous méfier de nos désirs ? Peut-on éduquer nos désirs, voire les réprimer ?
Ce sont quelques-unes des questions qui seront débattues au cours de cette nouvelle séance du café philosophique de Montargis. Cela aura lieu au Belman, le vendredi 18 janvier 2019 à 19 heures.
La participation sera libre et gratuite.
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Compte-rendu du débat : "Peut-on être seul·e au milieu des autres?"
Le café philosophique de Montargis se réunissait le 23 novembre 2018 pour un débat qui portait sur cette question : "Peut-on être seul·e au milieu des autres?" Une cinquantaine de personnes était présente pour cette nouvelle séance qui avait lieu au café Le Belman.
Le débat commence par la diffusion d’un court reportage sur L'affaire Christopher Knight, le reclus américain, l’histoire d’un exclus, ayant vécu seul de 1990 à 2017.
Au sujet de cette affaire, une participante remarque que cet homme s’est mis à l’écart du monde après le vol d’un livre mais que cette solitude voulue n’était que partielle puisque cet homme se rattachait à une certaine forme de la société – en l’occurrence la culture.
Sommes-nous faits pour vivre seul ? Le mot solitude venant du du latin solitudinem ("seul"), être retiré du monde ou bien être abandonné. Un animateur rappelle cette phrase de La Genèse : "Dieu dit: Il n'est pas bon que l'homme soit seul; je lui ferai une aide semblable à lui."
Un intervenant considère que personne n’est fait pour vivre seul, y compris sur un plan matériel. Nous sommes des être sociaux, dépendants les uns des autres. Par contre, il peut arriver que l’intégration de certaines personnes dans la société ne puisse se faire. Il convient par ailleurs sans doute à imaginer les liens pouvant exister entre les autres et ce que l’on en fait, sans aliénation et sans agression. Tous accepter des autres est dangereux et tout refuser semblerait être impossible.
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Le désir n'est-il que le manque ?
Le café philosophique de Montargis proposera sa prochaine séance au Belman. Ce sera le vendredi 18 janvier 2019 à 19 heures. Le débat portera sur cette question : "Le désir n'est-il que le manque ?"
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Merci aux participants de la séance du 23 novembre 2018
Le café philosophique de Montargis se réunissait le vendredi 23 novembre 2018 pour un débat qui portait autour de ce sujet : "Peut-on être seul·e au milieu des autres?"
Plus de 40 personnes étaient étaient présentes pour ce 77e débat. Merci aux participants et au café Le Belman pour son accueil.
Le café philo fixe son prochain rendez-vous au Belman le vendredi 18 janvier 2019 à 19 heures. Le débat portera sur cette question : "Le désir n'est-il que le manque?"
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Peut-on être seul·e au milieu des autres?
Le café philosophique de Montargis proposera sa prochaine séance au café Le Belman le vendredi 23 novembre 2018 à 19 heures. Le débat portera sur cette question : "Peut-on être seul·e au milieu des autres?"
Il y a d’emblée une incohérence dans cette interrogation : la solitude signifierait une forme d’isolement au monde contraint ou choisi. Être seul au milieu des autres paraîtrait donc contradictoire. Lors du débat, les animateurs proposeront de s’interroger sur mes rapports aux autres : ai-je besoin d’eux pour exister ?
Qu’est-ce que j’attends au juste des autres ? Qu’entend-on par alter-ego – littéralement cet "autre moi" ? Cet alter-ego peut-il être un obstacle à ma singularité et à ma liberté ? L’autre me condamnerait-il à une forme de solitude ? Et de quelle solitude parle-t-on, justement ? Cette solitude peut-elle être voulue et assumée ? Et est-ce que je peux m’accomplir dans une forme d’isolement ? Ce sont quelques-unes des questions qui seront posées au cours de ce 77e débat du café philo. Cela aura lieu au Belman, le vendredi 23 novembre 2018 à 19 heures.
La participation sera libre et gratuite.
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Compte-rendu du débat : "Obéir ou désobéir?"
Le 2 novembre 2018, le café philo se déplaçait au Vox de Château-Renard pour une soiré spéciale autour du film Libre de Michel Toesca. Le sujet du débat portait sur cette question a priori simple : "Obéir ou désobéir ?"
Après la projection du film, d’emblée il est apparu que le film, portant sur l’accueil des migrants, était en lui-même une réponse à cette question, pour ne pas dire qu’il était "orienté".
Un des co-animateurs précisait qu’à Briançon, une manifestation d’extrême-droite cet hiver avait pour objectif de bloquer les migrants en se substituant aux forces de l’ordre. Elle a été suivie quelques jours plus tard d’une contre-manifestation pour laisser passer des migrants venus d’Italie. Une personne du public constate que les manifestants identitaires n’ont pas été inquiétés, alors que ceux partant assistance aux migrants passent en jugement et risquent de la prison et de fortes amendes. Obéir ou désobéir ? Il semblerait donc que d’emblée les autorités et l’État fasse du "deux poids deux mesures."
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Peut-on être seul·e au milieu des autres ?
Le café philosophique de Montargis proposera sa prochaine séance au Belman. Ce sera le vendredi 21 septembre 2018 à 19 heures. Le débat portera sur cette question : "Peut-on être seul·e au milieu des autres?"
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Le café philo sera au Vox de Château-Renard, vendredi prochain
Le café philo de Montargis sera au Vox de Château-Renard le vendredi 2 novembre à 20H30 pour un débat portant sur la désobéissance.
Ce débat sera précédé du film Libre de Michel Toesca.
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"Obéir ou désobéir ?"
Le café philosophique de Montargis se délocalise en novembre pour une séance spéciale au cinéma Le Vox de Château-Renard. Cette soirée spéciale aura lieu le vendredi 2 novembre à 20H30, après la diffusion du film Libre de Michel Toesca.
"Obéir ou désobéir ?" Les animatrices et animateurs du café philosophique de Montargis proposeront un débat autour de la notion de liberté, de l’engagement et la désobéissance. Nous aspirons tous à vivre dans une société paisible, dans laquelle les lois entendent maintenir cette concorde. Mais que se passe-t-il lorsque ces lois me semblent "injustes" ? Peut-on considérer que c'est une raison suffisante pour ne pas lui obéir ? Comment vivre sa citoyenneté dans une société conflictuelle ? Quels principes peuvent nous conduire à la désobéissance ?
Ce seront autant de questions qui seront débattues au Vox, le vendredi 2 novembre 2018, à partir de 20H30.
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Sans commentaire
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"Obéir ou désobéir ?"
Le café philosophique de Montargis proposera une séance exceptionnel au Vox de Château-Renard, en collaboration avec le Vox et la Cimade.
Ce sera le vendredi 2 novembre 2018 à 20 heures 30 au Vox de Château-Renard. Le débat portera sur cette question : "Obéir ou désobéir?"
Ce débat sera précédé de la diffusion du film Libre, le documentaire français de Michel Toesca.
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Café philo exceptionnel au Vox de Château-Renard
Le vendredi 2 novembre 2018, le café philo de Montargis se délocalise exceptionnellement à Château-Renard pour une soirée autour de la liberté et de la désobéissance. La Cimade sera également
Le débat sera précédé du film Libre, un documentaire de Michel Toesca.
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Compte-rendu du débat "Va-t-on trop vite?"
Cette séance du 21 septembre, qui porte sur la question "Va-t-on trop vite ?" tombe, c’est une coïncidence, alors que, durant la semaine, nous avons appris le décès du philosophe Paul Virilio, qui a théorisé sur la vitesse dans nos sociétés post-modernes.
Dans le titre du débat proposé, "Va-t-on trop vite ?", il y a ce "on"impersonnel, qui nomme le groupe mais qui ne nous concerne pas plus que cette autre phrase : "De quelle vitesse parlons-nous ?" C’est le "on" heideggerien qui est en même temps un "on" que l’on emploie fréquemment dans le langage courant. Qui est ce "on" ? Est-ce que "nous" allons trop vite ou bien est-ce une contrainte extérieure. Le "on" est également inclusif, réagit un animateur. Nous faisons partie d’un être collectif. C’est un "on" qui nous rend solidaire et responsable d’une vitesse que l’on va subir mais aussi engendré.
Cette vitesse, étymologiquement, semblerait être sans surprise : la vitesse fait référence à ce qui va "vite" ("rapidement", "sans sommation"). Mais la vitesse est également "l’habileté"("Vistece," un terme du XIIe s.).
S’agissant de cette vitesse souvent pointée du doigt, de quoi parle-t-on ? Si l’on parle de la science, la science avance sans doute à son rythme ; cependant, s’agissant de la société, il y a sans doute un mouvement frénétique qui coûte énormément à la planète. Prendre le temps n’est-ce pas mieux ? Cependant, la vitesse et le mouvement fait intrinsèquement partie de notre monde et de la nature, comme le disait Aristote ("La nature doit donc être considérée comme un principe et une cause de mouvement et de repos, pour l'être où ce principe est primitivement et en soi, et non pas par simple accident."). Finalement, la vraie question est notre appréhension au temps et de la manière dont nous agissons. Est-ce que nous ne faisons pas les choses trop rapidement et de manière "superflue" ? Et y sommes-nous pour quelque chose ? Comme le disait Montaigne, "le monde est une branloire pérenne. Toutes choses y branlent sans cesse : la terre, les rochers du Caucase, les pyramides d’Égypte, et du branle public et du leur. La constance même n'est autre chose qu'un branle plus languissant." -
Merci aux participants de la séance du 21 septembre 2018
Le café philosophique de Montargis se réunissait le vendredi 21 septembre 2018 pour un débat qui portait autour de ce sujet : "Va-t-on trop vite ?"
Environ 30 personnes étaient étaient présentes pour ce débat qui inaugurait la 10e saison du café philo. Merci aux participants et au café Le Belman pour son accueil.
Le café philo fixe son prochain rendez-vous au Belman le vendredi 23 novembre au Belman, à partir de 19 heures. Le débat portera sur cette question : "Peut-on être seul·e au milieu des autres?"
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Première séance de la saison 10 : "Va-t-on trop vite ?"
Le café philosophique de Montargis revient pour une dixième saison. La première séance aura lieu une nouvelle fois au Belman qui nous ouvre ses portes.
Ce sera le vendredi 21 septembre 2018 à 19 heures. Le débat portera sur cette question : "Va-t-on trop vite ?"
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Va-t-on trop vite ?
Le café philosophique de Montargis est de retour le vendredi 21 septembre à partir de 19 heures pour une nouvelle saison. Cela se passera cette fois encore au café Le Belman, qui ouvrira ses portes à l’équipe du café philo et à son public pour un débat qui portera sur cette question : "Va-t-on trop vite ?"
Ce questionnement n’est pas nouveau mais il est surtout très contemporain. Notre mode de vie et les contraintes de notre société semblent pousser de plus en plus d’individus à ne jamais s’arrêter : courir pour ne pas être en retard, être toujours connecté pour être informé dans l’immédiateté ou utiliser des moyens de locomotion de plus en plus rapides. La lenteur semblerait être considérée comme une tare et la vitesse comme une vertu. Des voix de plus en plus nombreuses s’élèvent cependant pour réclamer moins de vitesse. Mais de quelle vitesse parle-ton ? La vitesse est-elle une réalité objective ? Ne pas aller trop vite ce serait ralentir voire s’arrêter : mais dans quel but ? La vitesse ne peut-elle pas être autant aliénante que la lenteur ?
Ce sont autant de pistes de réflexions qui pourront être débattues lors de la séance du vendredi 21 septembre 2018 à partir de 19 heures au café Le Belman, boulevard des Belles Manières, à Montargis.
La participation sera libre et gratuite.
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Le saviez-vous ?
Le 21 juin, le jour le plus long de l'année, est aussi la Journée internationale de la lenteur.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur ce lien : https://www.20minutes.fr/societe/958109-20120621-journee-lenteur-playlist-ecouter-tuer-temps
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Le café prend des vacances bien méritées en attendant la saison 10
L'équipe du café philosophique de Montargis prend des vacances bien méritées, après une neuvième saison riche en changements et en événements : un invité exceptionnel en septembre en la personne du philosophe et écrivain Thierry Berlanda, un changement de lieu avec une délocalisation au Belman (en octobre) et deux cafés exceptionnels, l'un à la médiathèque de Montargis en avril et l'autre aux Tanneries d'Amilly en juin.
Le café philo de Montargis fice son prochain rendez-vous le vendredi 21 septembre 2018 pour un nouveau débat au Café Le Belman. Le sujet sera communiqué au cours de l'été.
A bientôt.
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Compte-rendu du débat "La liberté a-t-elle un prix?"
Le café philo se réunissait pour l’avant-dernière fois cette 9e saison au Belman le vendredi 22 juin 2018 pour cette question : "La liberté a-t-elle un prix ?" Le débat commence par un extrait de l’émission de Raphaël Enthoven portant sur Sartre qui disait : "Si Dieu n’existe pas, tout est permis."
Sur cette question, un premier participant commence par dire que la liberté n’est pas cotée en bourse. D’emblée, cette notion de prix ne se rattache nullement à une valeur monétaire et à une cagnotte que l’on mettrait en place pour se servir en liberté. Pour un autre intervenant, la liberté, qui n’est jamais acquise, aurait un prix non-monnayable et difficilement quantifiable : celui de notre vigilance, de la revendication et du combat. Ce n’est pas un prix économique mais un "prix social et psychologique".
Pour une autre personne du public, la liberté a bien un prix : celui de ma responsabilité. Je ne peux être libre que si j’assume mes responsabilités. Par ailleurs, ma liberté serait cet espace entre moi et les autres, et cette liberté me contrant a des règles et des lois, des conventions dans une société où je vis. Sauf qu’on ne peut pas tous accepter dans ses choix. La liberté est une pièce, disait Jacques Attali, où est inscrit à l’avers la notion de précarité. Ce serait un des prix de cette liberté.
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Sans commentaire
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Le cinéaste, philosophe et écrivain Claude Lanzmann est mort
L’idée même de la mort lui paraissait scandaleuse. Ayant eu 90 ans en 2015, il comprit qu’il ne pourrait pas lui échapper. « La mort est là, elle peut arriver à tout moment, disait-il. La statistique est contre moi. C’est très mal. » Contredisant Heidegger, Claude Lanzmann ajoutait : « Mourir n’a rien de grand. C’est la fin de la possibilité d’être grand, au contraire. L’impossibilité de toute possibilité. »
Comme un volcan qui se serait endormi, Claude Lanzmann est mort à Paris jeudi 5 juillet à l’âge de 92 ans, a appris Le Monde auprès de son entourage. Il serait dommage de ne retenir de lui qu’un seul film – un chef-d’œuvre, il est vrai : Shoah. Certes, il fut un cinéaste majeur, l’un de ceux qui ont marqué à jamais l’histoire du cinéma ; mais il fut aussi écrivain, journaliste, philosophe, directeur des Temps Modernes, ami de Sartre, compagnon de Simone de Beauvoir… la liste est loin d’être exhaustive.
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Le cinéaste, philosophe et écrivain Claude Lanzmann est mort
L’idée même de la mort lui paraissait scandaleuse. Ayant eu 90 ans en 2015, il comprit qu’il ne pourrait pas lui échapper. « La mort est là, elle peut arriver à tout moment, disait-il. La statistique est contre moi. C’est très mal. » Contredisant Heidegger, Claude Lanzmann ajoutait : « Mourir n’a rien de grand. C’est la fin de la possibilité d’être grand, au contraire. L’impossibilité de toute possibilité. »
Comme un volcan qui se serait endormi, Claude Lanzmann est mort à Paris jeudi 5 juillet à l’âge de 92 ans, a appris Le Monde auprès de son entourage. Il serait dommage de ne retenir de lui qu’un seul film – un chef-d’œuvre, il est vrai : Shoah. Certes, il fut un cinéaste majeur, l’un de ceux qui ont marqué à jamais l’histoire du cinéma ; mais il fut aussi écrivain, journaliste, philosophe, directeur des Temps Modernes, ami de Sartre, compagnon de Simone de Beauvoir… la liste est loin d’être exhaustive.
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Le café philo a bien mérité ses vacances
Le café philosophique de Montargis s'est clôt avec une séance exceptionnelle aux Tanneries (La Philo sous les arbres).
La prochaine séance aura lieu le vendredi 21 septembre 2018 au Belman et inaugurera notre dixième saison. Nous vous communiquerons très bientôt sur ce site le sujet choisi.
A bientôt.
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Compte-rendu du débat de "La Philo sous les arbres" le 23 juin 2018
Le café philo se réunissait pour sa toute dernière séance de la saison aux Tanneries d’Amilly. Il s’agissait d’un rendez-vous exceptionnel, une "Philo sous les arbres," organisé le samedi 23 juin, dans le cadre des (f)estivales organisées par les Tanneries le week-end du 23 au 24 juin. Cette manifestation entrait dans le cadre de l’exposition Formes d’Histoires (28 avril au 2 septembre 2018). La Philo sous les arbres proposait de débattre notamment autour de cette question : "Qu’est-ce que les contes ont à nous raconter ?"
Les participants du café philo commençaient cette séance exceptionnel par une visite de l’exposition. L’enjeu de celle-ci porte sur les liens entre le réel et l’imaginaire, la vérité et la fiction, mais aussi les nouvelles formes artistiques et les contes et légendes. D’une certaine manière, les participants du café philo étaient invités à passer, telle la petite Alice, de l’autre côté du miroir (Claire-voie de Laetitia de Chocqueuse). À côté d’installations choc (le Tronçonné de Fabien Mérelle), engagées (Marion Baruch) ou surréalistes (le zèbre "Troché de face" de Ghyslain Bertholon), l’imaginaire des contes et légendes populaires est largement convié. Les créatures et les légendes populaires peuplent l’exposition : licornes, monstres mythologiques, l’âne de Peau d’Âne, les objets enchantés (le balai de Cendrillon en cristal Svaroski d'Andrey Frugier).
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La saison 9 du café philo se termine avec une "Philo sous les arbres"
Le café philosophique de Montargis se réunissait le 23 juin aux Tanneries pour la dernière séance de cette neuvième saison.
Une trentaine de participants se sont retrouvés lors des (f)estivales organisées par les Tanneries pour discuter de cette question : "Qu'est-ce que les contes ont à nous raconter".
Merci aux participants et à l'équipe des Tanneries. Et à bientôt, au 21 septembre, pour la prochaine séance du café philosophique de Montargis.